Construire et déconstruire pour enfin reconstruire, l’activité n’est pas vide de sens.
Ces mouvements sont perpétuels et inscrits dans l’univers. Est-ce dramatique ou inquiétant? Tout dépend de l’interprète, de l’espace et du temps. Est-ce qu’une ville peut mourir? N’est-ce pas plutôt nous qui mourons pour renaître autrement?
La ville dans ses formes de représentation symbolise les ruptures ou le passage évolutif des humanités en des lieux partagés, convoités, conquis. La ville, c’est nous au plus profond de notre être. Ne reconstruisons pas la ville, construisons l’humanité et la ville suivra.
Les dialecteurs